Marco Polo aurait dit que Suzhou possédait 6 000 ponts sur ses nombreux canaux. C'était exagéré, un plan datant de la dynastie Song en montre 314. De nos jours, il y a environ 160 ponts dans la ville et autant en périphérie.
Suzhou possède de nombreux jardins renommés, le jardin du modeste administrateur (Zhuozheng Yuan), le jardin du couple retraité (Ou Yuan), le jardin de l'harmonie ( Yi Yuan) et le jardin du maître des filets (Wangshi Yuan) sont dans la liste du patrimoine culturel mondial des Nations Unies. Au total, neuf jardins sont classés par l'UNESCO
Le jardin Liu à Suzhou est classé comme un des quatre plus beaux de la Chine. Surnommé « jardin de la nonchalance », il date de la dynastie Ming (1593). Abandonné un temps, il est restauré et agrandit en 1876. Il se compose de quatre jardins et chacun d'entre eux à son propre caractère.
Les Chinois considèrent les jardins comme une forme d’art sérieuse au même titre que la peinture, la sculpture et la poésie. Le but ultime est donc d’atteindre l’équilibre, l’harmonie, la proportion et la variété qui sont considérés comme essentiels à la vie. Il est notamment dit que « le jardin est une représentation artistique de la nature; une peinture en trois dimensions » et donc refléter les critères idéaux de l’esthétique chinoise. A travers un mélange d’éléments naturels comme les rochers, l’eau, les arbres et les fleurs, et d’éléments créatifs comme l’architecture, la peinture et la poésie, le jardinier-paysagiste tentait d’atteindre un idéal qui reflétait au mieux les principes taoïstes d’équilibre et d’harmonie entre l’homme et la nature.
De nombreux arbres ornent ces jardins.
L'arbuste chinois au parfum d'abricot
Le genre Osmanthus comprend une quinzaine d’espèces d’arbustes ou petits arbres à feuillage persistant qui portent des petites fleurs au parfum inoubliable.
Les fleurs de l'Osmanthus sont cultivées pour la fabrication de la concrète d’osmanthus et de l'absolue d’osmanthus utilisée dans la fabriquation des parfums.
La diversité des bâtiments qui s'y trouvent donne un aspect baroque et exubérant à ce lieu. Il est l'exact opposé du jardin du Maître des filets, tant par son étalage de richesse que son aspect quelque peu décadent. On peut y admirer de magnifiques oeuvres d'arts : meubles laqués, peintures sur soie...
Musique traditionnelle chinoise dans le jardin Liu .
L'instrument est un guzheng, instrument à corde pincées de la famille des cithares sur table et se rapprochant du koto au Japon, kayagum en Corée ou encore dan tranh au Vietnam.
Une autre partie du jardin est plantée de bonsaïs;
Les Chinois furent les premiers à cultiver des arbres en pot dans un but esthétique, à l'ère de la dynastie des Han (-206 à 220). À cette époque on ne parlait pas encore de bonsaï mais de penjing (pénjǐng) (représentation d'un paysage dans une coupe).
Peu après, sous la dynastie Qin (220 - 581) apparaissent les pénzāi (arbre unique dans une coupe). Aujourd'hui, en chine, la tradition des pengjing se perpétue, avec plus d'ardeur que celle des bonsaï.
Pour preuve de l'existence de cet art à cet époque, des archéologues ont découvert, en 1971, dans la tombe du prince Zhang Huai décédé en 705, sous la dynastie Tang (618 à 907), une fresque peinte sur les parois de sa tombe. Celle-ci représente deux valets portant, l'un un paysage en miniature et l'autre un vase en forme de lotus contenant un arbre avec des feuilles vertes et des fruits rouges.
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En général, on utilise des variétés à petites feuilles, fleurs et fruits. À noter que si certaines techniques permettent de réduire la taille des feuilles, celle des fleurs et des fruits n'est jamais modifiable.
L'art du bonsaï gagna le Japon aux environs des VIe et VIIe siècles avec les moines, qui amenèrent aussi le bouddhisme. Cet événement est confirmé par le célèbre rouleau du moine bouddhiste Honen Shonin de la période Kamakura (1192 à 1333), la représentation de petits arbres alignés dans des coupes. Or il faut savoir que les œuvres de ce moine retracent surtout la vie à la période Heian (794 à 1191). On peut donc raisonnablement en conclure que cet art apparut au Japon au plus tard en l'an 800.
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En Europe, le bonsaï a été introduit pour la première fois, lors de la troisième exposition universelle de Paris en 1878, puis dans une exposition privée en 1909 à Londres. La première allusion aux bonsaï a été faite par Paul Sédille dans la Gazette des Beaux-Arts de septembre 1878.
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Autre instrument découvert dans ce jardin, le pipa.
C'est un luth à quatre cordes dont la caisse est piriforme (en forme de poire). Son manche court et courbé compte 30 frettes qui couvrent une partie de la caisse et offre ainsi une grande étendue (3 octaves). Cet instrument apparaît pour la première fois dans des textes datant du deuxième siècle avant J.C.
Depuis la dynastie des Tang (618-907), le pipa a gardé sa popularité en tant qu’instrument soliste et de musique d’ensemble. La technique de jeu du pipa est caractérisée par une grande dextérité permettant des effets virtuoses à caractère descriptif.
Les trémolos obtenus par roulement des cinq doigts, les pizzicatos, le jeu des harmoniques, les bruits et autres sonorités se combinent pour créer des descriptions vivantes de scènes variées.
Le répertoire du pipa est partagé entre la musique dite «militaire» qui décrit avec vigueur les combats légendaires et la musique dite «littéraire» qui s’inspire de poésie, de paysages et de drames historiques. Cette musique de divertissement, fort appréciée des Chinois, comporte un vaste répertoire dont une bonne partie a été transmise de maître à élève depuis plusieurs siècles
Suzhou est également connue pour être la capitale de la soie.
Située au sud de la ville, près du port fluvial, l’usine est également un musée remarquable, où sont exposées les différentes étapes de la fabrication de la soie
Dès le XIIIe siècle, Suzhou fut célèbre pour sa production de tissus en soie, le centre industriel pour le delta du Yangtze.
La broderie de Suzhou fut pratiquée depuis la Dynastie Song (qui a régné sur la Chine entre 960 et 1279 ), c'était une des quatre écoles principales en Chine.
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La production en soie en Chine a une histoire de 6.000 ans. Dès le cinquième siècle B.C., la soie a été exportée vers l'Asie, l'Europe et l'Afrique le long de la vieille route en soie, apportant une contribution exceptionnelle à la civilisation du monde. Suzhou a été un producteur en soie pendant des siècles, et le premier musée en soie de la Chine a été construit dans cette ville antique.
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Des démonstrations des différentes manières de fabriquer des vêtements de soie sont organisées par des artistes revêtant eux mêmes des costumes de soie.
Le jardin du Maître des filets est l’un des quatres jardins les plus célèbres de la ville de Suzhou. Il se situe au Sud-Est de la ville est possède une histoire vieille de plus de 800 ans. Il repésente alors parfaitement le style très particulier des jardins chinois ainsi que des minuscules jardins résidentiels que l’on peut trouver dans les régions inférieures du fleuve Yangtze. Ainsi, le jardin du Maître des filets est devenu aujourd’hui un incontournable des circuits touristiques organisés en Chine.
Ce jardin qui fut bati en 1774 fut tout d’abord la villa de Monsieur Zheng au début de la dynastie des Song. Mais avec les années le propriétaire ainsi que le nom de ce jardin changèrent. C’est alors qu’en 1940 Monsieur He racheta le jardin et lui donna le nom de « jardin du Maître des filets ». Au cours de l’année 1950, le fils de monsieur He fit don de ce jardin à la Nation et c’est alors ce nom qui fut conservé.
Les dépendances résidentielles séparées les unes des autres par des petits jardins sont occupées par des meubles réalisés à partir de bois de pin provenant de Corée.
Les bâtiments situés au coeur de ce jardin sont de petite taille et particulièrement sublimes. Tout ceci tend alors à faire du jardin du Maître des filets une reproduction miniature de la vieille ville de Suzhou.
Au coeur de ce jardin se trouve un impressionnant cyprés qui fut planté par le tout premier propriétaire du jardin il y a maintenant plusieurs centaines d’années.
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En raison de ses nombreux canaux, Suzhou est appelée la Venise de l'Est ou la Venise jaune. Les deux villes sont d'ailleurs jumelées
Suzhou est située à proximité du lac de Tailhu du Grand canal, le poisson est donc facile à pêcher à proximité de la ville. Le climat relativement tempéré et le sol fertile de la région font que le riz y a été cultivé très tôt, il y a environ 6 000 ans.
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À Suzhou, on parle le dialecte de Suzhou du groupe des dialectes de Taihu du wu.
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Aujourd'hui, elle compte plus de deux millions d'habitants. Elle se développe avec un nouveau district et deux très grands parcs industriels.
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Du fait de son statut de ZES (Zone Économique Spéciale), Suzhou présente une activité économique particulièrement dynamique. Les deux zones qui encadrent la vieille ville, en effet, abritent près de 2000 entreprises et attirent les investisseurs internationaux.
Les jardins de Suzhou
yethidom
Author: yethidom (ID: 8016)
Posted: 2009-12-06 11:02 GMT+00:00
Mileage: 31.39 km
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Tags: Travel, Photography, Grand Tour, Chine octobre 2009
Views: 2433
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Suzhou, aussi appelée Su-Zhou, Su-Chou ou Soo-Chow, est une ville de la province du Jiangsu à l'est de la Chine. Située sur le cours du Yangzi Jiang et non loin du Tai Hu, la ville n'est qu'à une centaine de kilomètres de Shanghai.

Suzhou
Marco Polo aurait dit que Suzhou possédait 6 000 ponts sur ses nombreux canaux. C'était exagéré, un plan datant de la dynastie Song en montre 314. De nos jours, il y a environ 160 ponts dans la ville et autant en périphérie.
Suzhou possède de nombreux jardins renommés, le jardin du modeste administrateur (Zhuozheng Yuan), le jardin du couple retraité (Ou Yuan), le jardin de l'harmonie ( Yi Yuan) et le jardin du maître des filets (Wangshi Yuan) sont dans la liste du patrimoine culturel mondial des Nations Unies. Au total, neuf jardins sont classés par l'UNESCO
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Le jardin Liu à Suzhou est classé comme un des quatre plus beaux de la Chine. Surnommé « jardin de la nonchalance », il date de la dynastie Ming (1593). Abandonné un temps, il est restauré et agrandit en 1876. Il se compose de quatre jardins et chacun d'entre eux à son propre caractère.
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Les Chinois considèrent les jardins comme une forme d’art sérieuse au même titre que la peinture, la sculpture et la poésie. Le but ultime est donc d’atteindre l’équilibre, l’harmonie, la proportion et la variété qui sont considérés comme essentiels à la vie. Il est notamment dit que « le jardin est une représentation artistique de la nature; une peinture en trois dimensions » et donc refléter les critères idéaux de l’esthétique chinoise. A travers un mélange d’éléments naturels comme les rochers, l’eau, les arbres et les fleurs, et d’éléments créatifs comme l’architecture, la peinture et la poésie, le jardinier-paysagiste tentait d’atteindre un idéal qui reflétait au mieux les principes taoïstes d’équilibre et d’harmonie entre l’homme et la nature.
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De nombreux arbres ornent ces jardins.
L'arbuste chinois au parfum d'abricot
Le genre Osmanthus comprend une quinzaine d’espèces d’arbustes ou petits arbres à feuillage persistant qui portent des petites fleurs au parfum inoubliable.
Les fleurs de l'Osmanthus sont cultivées pour la fabrication de la concrète d’osmanthus et de l'absolue d’osmanthus utilisée dans la fabriquation des parfums.
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La diversité des bâtiments qui s'y trouvent donne un aspect baroque et exubérant à ce lieu. Il est l'exact opposé du jardin du Maître des filets, tant par son étalage de richesse que son aspect quelque peu décadent. On peut y admirer de magnifiques oeuvres d'arts : meubles laqués, peintures sur soie...
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Musique traditionnelle chinoise dans le jardin Liu .
L'instrument est un guzheng, instrument à corde pincées de la famille des cithares sur table et se rapprochant du koto au Japon, kayagum en Corée ou encore dan tranh au Vietnam.
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Une autre partie du jardin est plantée de bonsaïs;
Les Chinois furent les premiers à cultiver des arbres en pot dans un but esthétique, à l'ère de la dynastie des Han (-206 à 220). À cette époque on ne parlait pas encore de bonsaï mais de penjing (pénjǐng) (représentation d'un paysage dans une coupe).
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Peu après, sous la dynastie Qin (220 - 581) apparaissent les pénzāi (arbre unique dans une coupe). Aujourd'hui, en chine, la tradition des pengjing se perpétue, avec plus d'ardeur que celle des bonsaï.
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Pour preuve de l'existence de cet art à cet époque, des archéologues ont découvert, en 1971, dans la tombe du prince Zhang Huai décédé en 705, sous la dynastie Tang (618 à 907), une fresque peinte sur les parois de sa tombe. Celle-ci représente deux valets portant, l'un un paysage en miniature et l'autre un vase en forme de lotus contenant un arbre avec des feuilles vertes et des fruits rouges.
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P1370797
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En général, on utilise des variétés à petites feuilles, fleurs et fruits. À noter que si certaines techniques permettent de réduire la taille des feuilles, celle des fleurs et des fruits n'est jamais modifiable.
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L'art du bonsaï gagna le Japon aux environs des VIe et VIIe siècles avec les moines, qui amenèrent aussi le bouddhisme. Cet événement est confirmé par le célèbre rouleau du moine bouddhiste Honen Shonin de la période Kamakura (1192 à 1333), la représentation de petits arbres alignés dans des coupes. Or il faut savoir que les œuvres de ce moine retracent surtout la vie à la période Heian (794 à 1191). On peut donc raisonnablement en conclure que cet art apparut au Japon au plus tard en l'an 800.
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P1370803
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En Europe, le bonsaï a été introduit pour la première fois, lors de la troisième exposition universelle de Paris en 1878, puis dans une exposition privée en 1909 à Londres. La première allusion aux bonsaï a été faite par Paul Sédille dans la Gazette des Beaux-Arts de septembre 1878.
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P1370813
Autre instrument découvert dans ce jardin, le pipa.
C'est un luth à quatre cordes dont la caisse est piriforme (en forme de poire). Son manche court et courbé compte 30 frettes qui couvrent une partie de la caisse et offre ainsi une grande étendue (3 octaves). Cet instrument apparaît pour la première fois dans des textes datant du deuxième siècle avant J.C.
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Depuis la dynastie des Tang (618-907), le pipa a gardé sa popularité en tant qu’instrument soliste et de musique d’ensemble. La technique de jeu du pipa est caractérisée par une grande dextérité permettant des effets virtuoses à caractère descriptif.
P1370815
Les trémolos obtenus par roulement des cinq doigts, les pizzicatos, le jeu des harmoniques, les bruits et autres sonorités se combinent pour créer des descriptions vivantes de scènes variées.
P1370816
Le répertoire du pipa est partagé entre la musique dite «militaire» qui décrit avec vigueur les combats légendaires et la musique dite «littéraire» qui s’inspire de poésie, de paysages et de drames historiques. Cette musique de divertissement, fort appréciée des Chinois, comporte un vaste répertoire dont une bonne partie a été transmise de maître à élève depuis plusieurs siècles
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Suzhou est également connue pour être la capitale de la soie.
P1370822
Située au sud de la ville, près du port fluvial, l’usine est également un musée remarquable, où sont exposées les différentes étapes de la fabrication de la soie
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Dès le XIIIe siècle, Suzhou fut célèbre pour sa production de tissus en soie, le centre industriel pour le delta du Yangtze.
P1370824
La broderie de Suzhou fut pratiquée depuis la Dynastie Song (qui a régné sur la Chine entre 960 et 1279 ), c'était une des quatre écoles principales en Chine.
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P1370826
P1370827
P1370828
La production en soie en Chine a une histoire de 6.000 ans. Dès le cinquième siècle B.C., la soie a été exportée vers l'Asie, l'Europe et l'Afrique le long de la vieille route en soie, apportant une contribution exceptionnelle à la civilisation du monde. Suzhou a été un producteur en soie pendant des siècles, et le premier musée en soie de la Chine a été construit dans cette ville antique.
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P1370835
Des démonstrations des différentes manières de fabriquer des vêtements de soie sont organisées par des artistes revêtant eux mêmes des costumes de soie.
P1370836
Le jardin du Maître des filets est l’un des quatres jardins les plus célèbres de la ville de Suzhou. Il se situe au Sud-Est de la ville est possède une histoire vieille de plus de 800 ans. Il repésente alors parfaitement le style très particulier des jardins chinois ainsi que des minuscules jardins résidentiels que l’on peut trouver dans les régions inférieures du fleuve Yangtze. Ainsi, le jardin du Maître des filets est devenu aujourd’hui un incontournable des circuits touristiques organisés en Chine.
P1370838
Ce jardin qui fut bati en 1774 fut tout d’abord la villa de Monsieur Zheng au début de la dynastie des Song. Mais avec les années le propriétaire ainsi que le nom de ce jardin changèrent. C’est alors qu’en 1940 Monsieur He racheta le jardin et lui donna le nom de « jardin du Maître des filets ». Au cours de l’année 1950, le fils de monsieur He fit don de ce jardin à la Nation et c’est alors ce nom qui fut conservé.
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Les dépendances résidentielles séparées les unes des autres par des petits jardins sont occupées par des meubles réalisés à partir de bois de pin provenant de Corée.
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Les bâtiments situés au coeur de ce jardin sont de petite taille et particulièrement sublimes. Tout ceci tend alors à faire du jardin du Maître des filets une reproduction miniature de la vieille ville de Suzhou.
P1370841
Au coeur de ce jardin se trouve un impressionnant cyprés qui fut planté par le tout premier propriétaire du jardin il y a maintenant plusieurs centaines d’années.
P1370842
P1370845
En raison de ses nombreux canaux, Suzhou est appelée la Venise de l'Est ou la Venise jaune. Les deux villes sont d'ailleurs jumelées
P1370846
Suzhou est située à proximité du lac de Tailhu du Grand canal, le poisson est donc facile à pêcher à proximité de la ville. Le climat relativement tempéré et le sol fertile de la région font que le riz y a été cultivé très tôt, il y a environ 6 000 ans.
P1370847
P1370848
P1370850
P1370851
À Suzhou, on parle le dialecte de Suzhou du groupe des dialectes de Taihu du wu.
P1370852
P1370853
Aujourd'hui, elle compte plus de deux millions d'habitants. Elle se développe avec un nouveau district et deux très grands parcs industriels.
P1370854
P1370855
P1370856
P1370857
P1370858
P1370860
Du fait de son statut de ZES (Zone Économique Spéciale), Suzhou présente une activité économique particulièrement dynamique. Les deux zones qui encadrent la vieille ville, en effet, abritent près de 2000 entreprises et attirent les investisseurs internationaux.
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