Le mélèze ici abondant domine sur un soubassement de pierres. Le bâtiment est de volume important, profitant de la pente, et s’ouvrant sur le sud-ouest.
Une partie ronde : la « Tino », qui servait d’abreuvoir pour les animaux. C’est dans ce bassin qu’arrive l’eau. Les gens venaient s’y approvisionner en eau pour les besoins domestiques.
Une partie rectangulaire : le « batchas », qui servait à laver le linge.
Toitures en lauzes de schiste et tavaillons
La tuile de bois possédait l'avantage d'être auto-productible par l'usager pendant les temps morts d'hiver.
L'Aigue Blanche propose des Spécialités des Montagnes
(Beignets de pommes de terre, fondues Savoyarde et moitié moitié, raclette traditionnelle, croûte au fromage, tartiflette, ... ).
Tous nos plats sont préparés maison, à base de produits locaux.
(Description du restaurant)
Les Croix de Mission
Elles sont au nombre de six dans le village. Elles furent érigées chaque fois qu’un missionnaire vînt dans le village évangéliser les habitants.
Marbre vert ou serpentine veinée de calcite.
On la trouve dans le vallon de Cascavalier ainsi que dans la vallée de Ceillac et à Maurin.
Tous 3 disputent le fait que ce marbre ait servi à faire une partie du tombeau de Napoléon
Cette carrière a été exploitée de 1890 à 1900.
En 1926 une société lyonnaise fait installer une turbine dans le torrent pour actionner un fil hélicoïdal mais les couts d’exploitation s’avèrent trop élevés et l’exploitation s’arrêtera définitivement en 1931.
Tous les ans, le 16 juillet, et ceci depuis plusieurs décennies, saint-vérannais, queyrassins, et habitants de Chianale et du Val Varaïta voisin, rendent grâce à Notre Dame du Mont Carmel dans le superbe cirque vallonné de Clausis, vaste alpage entouré de crêtes qui culminent à la « Tête des Toillies » (3175m), ou « Tête Noire »près de la chapelle du même nom.
Les Romains connaissaient la mine de cuivre de Saint-Véran. En témoigne la monnaie d'Antonin le Pieux (empereur romain de 138 à 161 après JC) trouvée à l'entrée d'une galerie. L'affleurement préhistorique étant épuisé, il a fallu creuser des galeries de plus en plus basses pour atteindre le filon qui s'enfonce dans le sol pratiquement à la verticale.
En 1901, on s'efforce d'adopter des techniques modernes d'exploitation, abattage à l'explosif, transport des stériles et du minerai par des wagonnets sur voie ferrée, broyage et lavage du minerai. Les galeries d'accès s'allongent, car il faut aller chercher la veine de plus en plus profondément.
En 1957, ces pluies diluviennes qui ont provoqué tant d'inondations et de destructions dans le Queyras provoquent des glissements de terrain qui envoient au fond de la vallée une part importante du matériel d'exploitation. Un malheur ne venant jamais seul, il est suivi d'un accident provoquant la mort de deux ouvriers puis d'une explosion endommageant gravement la salle des machines. Les investissements pour remettre en route la mine des Clausis seront trop lourds. Celle-ci sera fermée en 1961.