Le traité de Waitangi fut signé le 6 février 1840 à Waitangi, dans la baie des Îles, entre les représentants de la couronne britannique et les chefs de la Confédération des Tribus unies de Nouvelle-Zélande ainsi que d'autres chefs tribaux Maori .
Le traité fit formellement de la Nouvelle-Zélande une colonie britannique et peut être considéré comme l'acte de fondation de la Nouvelle-Zélande en tant que nation. Ce traité et l'interprétation qui peut être faite des mots forgés dans sa version en maori occupent encore une place importante dans la politique néo-zélandaise moderne et reste l'objet de vives controverses.
Le mât à Waitangi.
Pendant des années, la Royal New Zealand Navy l'a maintenu en bon état. A partir de 1974, trois drapeaux y ont généralement flotté le drapeau de Nouvelle-Zélande, le drapeau de l'Union, et le drapeau des Tribus Unies de Nouvelle-Zélande choisi en 1834. Ces dernières années, d'autres drapeaux ont été ajoutés. Le mât est également devenu une lieu majeur pour les protestations.
Le traité fut d'abord proposé par le capitaine William Hobson à son retour de sa première expédition dans la région. Il reçut dès lors mandat du gouvernement britannique pour mettre son plan à exécution et reçu le titre de lieutenant-gouverneur. Revenu en Nouvelle-Zélande, il rédigea avec l'aide de James Busby, représentant britannique sur l'île, un traité qui fut traduit par le missionnaire Henry Williams (qui assura également la traduction orale du texte lors de la signature).
Bureau de James Busby ( représentant britannique sur l'île )
Busby avait également participé à la rédaction de la déclaration d'indépendance de la Nouvelle-Zélande, signée par plusieurs chefs maori, en 1835.
Conséquences du traité
À court terme, le traité eut l'avantage d'empêcher l'acquisition de terres māori par quiconque autre que la Couronne. Cette provision avait pour but d'empêcher les marchés de dupes qui s'étaient déjà réalisés entre colons peu scrupuleux et indigènes dans d'autres parties de l'Empire, où les autochtones se voyaient expulsés de leurs terres ancestrales pour le prix de quelques pacotilles. En substance, le traité avait donc pour but d'établir un système de registre foncier, avec la Couronne comme gardien et interlocuteur pour prévenir les éventuels abus.
En prévision de la signature de ce traité, la Compagnie de Nouvelle-Zélande effectua d'ailleurs plusieurs achats de terre précipités et installa plusieurs colonies, partant du principe que l'occupation aurait dès lors valeur de possession.
Le Rainbow Warrior a reçu un dernier lieu de repos près de Matauri Bay, dans les îles Cavalli. Il est devenu un récif vivant, attirant la vie marine et les plongeurs de loisirs.
L'idée a d'abord été proposé par l'Association Nouvelle-Zélande sous-marine. Ce lieu semblait être un bonne destination pour un navire qui avait passé son temps à protéger l'environnement marin.
Il a été remorqué au nord avec une coque rapiècée le 2 Décembre 1987. Dix jours plus tard, une foule de sympathisants était présents lors d'une cérémonie d'enterrement traditionnel maori pour ce bateau.
Maintenant ce bateau abrite un écosystème complexe, le Rainbow Warrior est devenue une destination de plongée populaire. La communauté locale maorie y maintient sa tutelle. En quelques années, le Rainbow Warrior est devenue une partie intégrante de l'environnement,qu'il a aidé à protéger.
C'est dans le port d'Auckland que le 10 juillet 1985 fut saboté le Rainbow Warrior, bateau de Greenpeace, par les services de renseignement français, ce qui donna lieu à un retentissant scandale et des tensions diplomatiques entre la France et la Nouvelle-Zélande.
403 de l'inspecteur Colombo?
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